Receuil de poèmes

Voilà... je me disais que ceux qui aiment les poèmes pourrait en composer ici!
Moi, j'en ai inventé un que j'aime beaucoup...

Je me conjugue à l'imparfait, et je n'ai pas l'intention de devenir plus-que-parfait. Je me consacre simplement au présent, sans revenir sur mon passé, composé de mes souvenirs d'enfance. Il est impératif que mon futur (simple avenir), sois aussi beau que mon futur antérieur, que je me suis créé. Mais pour l'instant, je participe au présent, indicatif de mon futur avenir...

Les courageux bateaux
Font l'amour et la guerre
Avec le déchainement de l'eau
Il sont contre et avec la mer

Ton courage en toi
Forme une confience
Et une grande foie
Tu part en mer en silence

La mer te sépare de moi
Ton bateau et toi
L'affrontera sans moi
Je ne ferai pas partie du comba

Vous, c'est la mer
Moi, c'est la terre
Ton chemin
n'est pas comme la mien

Je t'aime
Tu m'aimes
Mon amour
Pour toujours

Quelqu’un meurt quelque part avant que le jour n’éclate
Silencieux, esseulé, il regarde la mer calme
Roulant sous ses pieds qui attendent la nuit fatale;
C’est son cercueil, semblable à sa vie, oubliée, morte.

Quelqu’un meurt quelque part avant que le jour n’éclate
Ses yeux éteints asséchés de la vie qui anime
Attendent que le soleil laisse place à la lune pleine
De regrets; il en sera bordé tel un linceul.

Quelqu’un meurt quelque part avant que le jour n’éclate
Le soleil se couche avec lui, se cachant, attendant
Que le lendemain apparaisse sans un sourire.

La mer se retire; elle a accompli son devoir
Ramené un souvenir à qui n’espérait plus
Quelqu’un meurt quelque part avant que le jour n’éclate.

(Je répète trois fois attendent alors faut pas faire attention! Embarassed

)

Je regarde dans mon âme
Cette chaleur de glace qui s'enfouit
Ce venim de neige salée fondue
Cette pointe du iceberg qui transperce
Jusque dans le fond du vide.

Je regarde dans ma mémoire
Ce parachute de néant qui se déchire
Ce souvenir de mon être solitaire morcelé
Ces images qui tombent
Jusque dans le milieu de l'oubli.

Je regarde dans mon cœur
Cet étau de souvenirs qui rétrécit
Ces pensées d’un autre envahies, menacées
Ce poignard qui glisse
Jusque dans le centre de ma joie.

(Celui-là il veut rien dire encore une fois faut pas faire attention! Embarassed

)

Ceux-là sont en anglais :

Mute sound
Dark light
Echoed silence
Fading bloom
Essential trifle
Raining sun
Sky-high earth
New-born death
Noisy melody
Woe happiness
False truth

Who sees when you’re blind to yourself?
Who finds you when you can’t find yourself?
Who lights up a path when you’re lost in the dark?
Who’s strong when you’re scared?
Who remembers when you forget?
Who speaks when you can’t?
Who helps you live when you want to die?
This person, this light, who is she for you?
When she’s gone, who are you?

The moon shining bright
Opens a path in the cold
The winter shadow

Tu t'en vas à la dérive,
Sur la rivière du souvenir,
Et moi courrant sur la rive,
Je te crie de revenir,

Mais lentement tu t'éloignes,
Et dans ta course éperdue,
Peu à peu je te regagne,
Un peu du terrain perdu.

De temps en temps tu t'enfonces,
Dans le liquide mouvant,
Ou bien frôlant quelques ronces,
Tu hésites et tu m'attends,
En te cachant la figure,
Dans ta robe retroussées,
De peur que n'te défigurent,
Et la honte et les regrets.

tu n'es plus qu'une pauve épave,
Chienne crevée au fil de l'eau,
Mais je reste ton esclave,
Et plonge dans le ruisseau.
Quand le souvenir s'arrête,
Et l'océan de l'oubli,
Brisant nous réunit.

(titre : La noyée/ composé par Serge Gainsbourg et chanter par Carla bruni) Laughing

Wait for you

I will follow the rainbow until the end
If you promise to stay my friend
But if I died before you do
I'll go to paradise and whait for you...

I love you

Voici quelques prases qu'une de mes amie m'as dit un jour pour me dire qu'elle m'aimais comme une amie qu'on a besoins comme l'aire qu'on respire:

-J'ai un pincement au coeur il m'a dit que le jour où l'eau prendra en feu, que le ciel nocture aura ni lune ni étoile, que quand le soleil sera de venu planète, quand le plus beau lieu sera l’enfer et que le paradis sera en feu glaciale, peut-être tu sera un peu moins ton amie.

-J'aimerais être ta petite soeur et que tu m’apprenne de la vie ce qui est bien et prendre model sur toi; pouvoir être à tes côté tout les jour; pouvoir te raconté mes journée et te dire ce qui ne va pas; que sa soit toi que me console le soir quand j'Ai de la peine; que sa soit toi qui ma borde et me dit bonne nuit; que tu soit un ange qui serait me gatter san me tapper sur les naire.
Moi, j'aimerais être ta grande soeur, te servire de model et tout faire pour te faire plaisir, être à tes côtés tout les jours, pourvoir être la pour que tu me raconte ta journée et que tu me dise ce qui ne vas pas, pouvoir te consoler le soir quand tu a de la peine, pouvoir te border et te dire bonne nuit, et être ton ange gardien, le plus attentionné de tous et celui qui t'aime le plus.

-Une cage me bloque et je fais sentir le manque d'amour autour de moi, elle m'emprisonne dans ma solitude et seul une amie, comme toi peut l'enlever en venant près de moi et me donner de l'amitié
Ne t’en fait pas, je serai la clef qui viendra ouvrir la porte, la cuillère qui creusera un tunnel vers la sortie, le juge qui te rendra ta liberté et l’ange qui viendra te réconforter.

Je lui ai répondu cela en lui disant que je l'aimait fort et que je ne voulais pas la perdre comme amie. Je vous encourage fortement à dire à tout(e)s vos ami(e)s que vous les aimez. Moi, je leur dit plusieurs fois par jour, et ca fait du bien à chacun.</FONT>

Légande:
Cyan: Mon amie
Rose: Moi

Une tente d'étoile
Lui forme sa coiffure,
L'herbage est un fin voile
Lui servant de parure.

Elle a des milliers d'enfants
Des poussières d'éternité;
D'un rayon du haut firmament,
Ils eurent chaud et furent parés.

Mais sa robe est un amas de déchets
Et ses souliers une brume imposée;
Qui aurait cru qu'un jour viendrait
Où cette beauté serait effacée?

Les yeux du temps tournés vers la nuit, elle attend
Que son amant le ciel vienne la délivrer;
Malgré ses chaînes, elle veille sur ses enfants
Qui dans la cage de sa vie l'ont enlisée...

(Par moi-même)

(ce poème est prit sur un site mais je le trouve trop chou)

je suis triste et si seule loin de toi
ta présence me manque tant
j'ai besoin de tes bras autour de moi
et de ton regard si profond
loin de toi j'ai le mal de vivre
et je ne sui plus la même
j'ai besoin de revoir ton sourire
et t'entendre me dire je t'aime
sache que chaque jour qui se lève
tu occupes toutes mes pensées
amor, amor garde moi auprés de toi

J'ai écrit ce poème en m'adressant à une personne en particulier qui se reconnaitra.

Un jour j’ai découvert,
Une fille au plus grand cœur.
Ensemble nous avons développé,
Une amitié a proprement parler.
Une que nous avons entretenu,
Du mieux que nous avons pu.

Toutefois, deux contraire nous étions,
Deux opposée, deux côtés d’un miroir.
Et cette différence commençait à se faire voire,
De plus en plus d’embuches nous croisions,
Mais le fil tenait bon, du moins,
Jusqu’à ce qu’une explosion fasse feu dans un coins.

Lorsqu’empathique tu est,
Déjà difficile est de gérer tes émotions,
Et encore plus l’est lorsqu’une amie proche sombre dans le noir.
Tu a alors à jongler avec cette tension,
Comme basculée sur une planche instable il faut croire,
Et encore plus dépourvue de solution tu est.

Il est habituellement facile de venir en aide,
A une amie qui en a besoins, il me semble.
Mais si celle-ci est ton opposé,
Alors au vide tu est confronté.
Ton intention a beau être profonde,
Tout ce que tu fais semble plus que nuisible.

Je me suis retrouvée dans cette situation
Avec cette amie au cœur en or.
Mon mode de réconfort,
Allait contre sa façon,
D’être réconforté,
Par une amie comme elle était habituée.

Régnait alors malaise et tension,
Que tout les deux nous essayons,
D’écarter d’en travers notre chemin,
Sans toutefois s’entre aider.
Cela a eu comme venin
D’encore plus nous éloigner…

Lorsqu’enfin nous nous sommes parlé,
Ensemble nous avons compris,
Le problème dans son entier,
Nous en avons même souri.

J’ai enfin compris,
Où je faisait erreur,
Où je devait travailler,
Et arriver à faire fonctionner notre amitié
Et je lui alors promis,
De toujours lui donner la bonne heure.

Je vais essayer d'illustrer ou de résumer ma vision de l'amitier en une phrase:
L'amitié est comme notre dernier soufle de vie; soit on le laisse partire snas essayer de le retenir... soit on fait tout en notre possible pour le faire durer.

Une amitier s'entretien mais les deux personnes doivent faire leur part. Ça se vit à deux.
Aussi, cela implique beaucoup. Surtout du soutiens dans les temps difficiles. Je crois que lorsqu'une personne qu'on aime a tendence à déprimer, ou comme j'aime bien le dire, à sombrer dans le noir, cela influence ses vraies ami(e)s et les affectes tou(te)s. C'est pourquoi il faut se soutenir et serrer les coudes et se dire qu'on s'aime.

On... C'est cuteeeee!!!!!!!!! T'es vraiment trop bonne pour faire des poèmes! Tu enligne tes phrases et les rimes se placent toute seule on dirait! Chapeau!

Lune je trouves tellement ton poème cute et triste
que tu ma faite avoir des larmes sur le bord de l'oeil
tu es trop bonne pour les poème
et je suis d'accord avec Squall

Oh oui vraiment cute tes poèmes Lune! Snif!

Bon ça au départ c'est une chanson composée pour le cours d'anglais... Pour l'instant elle a pas vraiment de mélodie alors c'est juste un poème...

Fallen star

As a rose in a lost land
As a bomb in a bad hand
As a light in a dark sun
As a heart into a gun

As in heaven as in hell
A golden star that can't tell
How her voice became whisper
Leaving her alone, bitter

As a witch without her broom
Who's white spells set to her doom
A dark hole cracked up the star
with no sky to look afar

Now her voice forgot to sing
Lost all joy that life can bring
As in heaven as in hell
Her shine to none has now fell

Ma signature d'aujourd'hui (26 juin 2008) Il y en a deux, une sur Lyra et l'autre sur Mina et moi.

Elle :

Spoiler:

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