Près du bateau aux voiles blanches (PV Loudrix)

Assise au bord du quai, Mina songeait, tranquillement, attendant que le soleil se lève. Pour l'instant, les étoiles étaient encore les maîtresses du ciel, bien que leur règne soit en train de s'achever. Son navire flottait au mouillage à tribord, impatient de reprendre du service. Elle savait qu'il lui restait encore un bon moment avant de repartir et qu'elle aurait dû se ballader en ville rencontrer les gens du coin, mais elle n'y pouvait rien : c'était contraire à son caractère. Et puis, elle était plutôt un oiseau de nuit, apréciant les mouvements du soleil, soir ou matin, alors que l'eau se transformait en un miroir coloré.

Toute seule sur le bord du quai, elle songeait. Au château, à la vie toute faite qu'on lui avait présentée, une cage dorée, à la vie qu'elle avait choisie, libre et intrépide. Sa main se serra autour de son collier. Elle en sentit les contours rendus rugueux de rouille. Il faudrait qu'elle pense à l'arranger, un de ces jours.

Ses doigts glissèrent ensuite vers l'épée qu'elle portait au côté. Elle soupira. Elle trouvait agaçant d'avoir à traîner une arme jour et nuit, peu importe l'endroit. Mais la guerre iminente rendait ce réflexe de plus en plus important...

Alors qu'elle apréciait le vent qui soufflait dans ses mèches cuivre, elle sentit un présence juste à côté...

Loudrix ne réussissait pas à s’endormir. Son côté nocturne prenait le dessus sur lui ces derniers temps. Son insomnie l’avait forcé à se lever et tant qu’à être réveillé, Loudrix décida de prendre une marche. Il alla se promener sur le chemin qui menait au quai, il n’y était pas encore allé et ça l’intriguait.

Dès qu’il commença à apercevoir le quai clairement, il y vit une personne. Plus qu’il s’approchait plus qu’il voyait les détaille. Rendu à une certaine distance, Loudrix peut voir que c’était une fille qui avait de beaux cheveux qui flottait dans le vent et qu'elle partait une belle robe style marine. Rendu encore plus proche, il put voir aussi que cette fille avait un regard plutôt apcent. Ce regard était lointain et mystérieux.

Quand Loudrix était à un pas du quai, il hésita à aller voir la jeune fille. Peut-être ne voulait-elle pas de lui? Il commença à l’observer, elle tenait qu’elle que chose dans ses mains…Un pendentif couleur un peu rouille surement par le vécu. Puis, soudain, quand Loudrix venait de faire son premier pas vers la mystérieuse fille, le délicat regard de celle-ci se tourna vers lui. Surpris par ce geste imprévu, l’adolessant se figea un peu sur le coup. Regard dans regard, Loudrix ne bougeait pas. Ces yeux qui le regardaient étaient si beaux et lointains comme la mer. Les cheveux qui cachaient le délicat visage de la jeune fille fit rêver un peu le garçon. Après deux secondes perdu dans ses pensées, Loudrix revint à la réalité.

-eemh! Pardon, je ne voulais pas vous déranger, mais puis-je vous tenir compagnie?-
Dit-il d’un air mi-sympathique et mi-gainé. Laughing

Il fit un sourire et ne bougea pas avant que la jeune demoiselle est répondue.

Mna observa son interlocuteur, mi-effrayée, mi-méfiante. Impossible de savoir dès le premier regard qui était allié ou ennemi. Ça aussi, ça l'agaçait : toujours avoir à se demander si la personne qui nous regardait était un tueur ou un ami. Quoiqu'elle aie peu le temps de se faire réellement des amis, à force de vagabonder d'un bout à l'autre du pays.

Celui qui la regardait avait des yeux d'un bleu curieux et une épée au côté. Ses cheveux noir de jais lui rappelaient les corbeaux. Au premier coup d'oeil, on aurait dit qu'elle le gênait un peu. Elle cacha ses yeux d'un voile de cheveux. Elle n'aimait pas qu'on les voie, car ils en effrayaient plus d'un par leur regard froid. Alors, elle lui répondit :

-Non, vous ne me dérangez pas. Je ne faisais pas grand-chose de toute façon.

Elle hésita avant de répondre à la question, car on lui avait appris que de demander et permettre à quelqu'un de s'asseoir était une certaine marque de respect, de sorte qu'on acceptait suffisamment quelqu'un pour cela. Aussi, elle hésita un peu en disant :

-Oui, bien sûr, vous pouvez vous asseoir. Le quai ne m'apartient pas plus qu'à un autre, après tout...

Loudrix, s’approcha tranquillement de la jeune fille. Il trouva qu’elle avait l’air un peu méfiante dans sa réponse. Pourtant, il ne vouait lui faire aucun mal. Peut-être, a-t-elle eu un passé bouleversant.
Il dit calmement et avec un sourire délicat sur ses lèvres :

-Merci, mais vous n’avez pas à cacher vos yeux, je les trouve merveilleux.

À ces mots, il s’assit à ses côtés, mais sans trop se coller à elle, il ne voulait pas la brusquer. Il pencha la tête vers ses pieds balançait dans le vide au rythme des vagues arrivant sur terre et les poteaux du quai. Ses cheveux cachèrent un peu son visage. Tous les deux ne parlait pas. La nuit y était complaitement noir, seul la lumière de la lune et des étoiles éluminait ce ténèbre de silence et reflettait sur l’eau noir devenir miroire. Le jeune homme pouvait apercevoir faiblement leurs reflets, seulement la couleur pale de ses yeux bleus et ceux de la robe de la jeune demoiselle à ses côtés se voyait bien.

Il ne pensait qu’a une chose, une chose encrée solidement dans son âme et son cœur. Il ne pouvait chasser de son esprit le portrait et surtout les yeux de la jeune fille. Loudrix ne savait pas vraiment se qu’il lui arrivait. Plein de question lui venait en tête en restant perdu dans la chaleur des yeux de l’être qui était avec lui.

*Est-ce ça l’amour? Est-ce ça le coup de foude? Est-ce suposer faire mal, quand on est dans cet état? Est-ce un ange qu’il est à mes côté? Est-ce une belle étoile qui s’est décrochée du ciel nocture pour venir réchauffer mon cœur à ce point? Est-ce ça une étoile de proche?*

Les quelques secondes de questionnement et de rêve qui s’était passées en si peu de temps, Loudrix venait de regardé ses pieds, quand il se tourna vers celle qui avait des pipilles d’une couleur unique, et lui dit en brisée le silence de la nuit :

-Je n’avait jamais vue des yeux pareilles aux votres. Quel est votre nom? Moi, c’est Loudrix.

Mina pencha la tête sur le côté, observant son interloccuteur. Il y avait dans ses yeux une étrange chaleur, inexplicable et intrigante. Elle se demanda ce que ça pouvait signifier. La remarque sur ses yeux surtout l'avait troublée. Surprenant. Et mystérieux. Il était rare qu'on lui en parle, surtout de cette manière. Ignorant quoi dire d'autre, elle fit un :

-Merci...

Puis elle regarda à nouveau l'horizon qui commençait à s'éclairer. Le soleil était sur le point de se lever. Elle laissa échapper un sourire, comme à chaque fois qu'elle voyait ce spectacle qui l'émerveillait toujours autant. C'était bien la seule chose qui la fasse vraiment sourire.

-Je m'appelle Mina, je travaille sur ce bateau, dit-elle en désignat la masse flottante accostée au bord du quai.

Elle balança un peu ses jambes, d'avant en arrière, pour penser à autre chose en attendant de voir si Loudrix lui répondrait.

Loudrix se tourna vers l’horizon peu éclairé. Quelque rayon de soleil réussissait à séchapper pour faire apparêtre quelque couleur sur le paysage. Puis, il regarda sur le côté et vit les yeux de Mina qui fesait refletté cette mince couche de lumière. Et les déliqua cheveux de la jeune fille qui donnait l’impression de briller. Elle était aussi belle le jour que la nuit, ce dit-il. Loudrix observa le bateau que lui avait montré la demoiselle, il était beau avec ses grand voil blanc malgré le vécu. Il représentait bien la valeur de la liberté avec son petit mouvement de balencement à cause des vagues qui séchouait sur terre, il donnait l’empression de vouloir partir en mer calme.

-C’est un très beau lieu de travail, si tu veux mon avi. Tu as la chance de pouvoir voir le magnifique spectacle naturel du matin et du soir. C’est une belle chance que tu as, car moi je travail à l’écurie à féonis, je n’ai pas la mer proche proche disons. Est-ce que c’est là aussi que tu habites? Smile

Loudrix commençait à être de plus en plus alaise, mais il ne comprenait toujours pas pourquoi cette fille était aussi belle et si différente des autre à ses yeux. Il se retour na vers Mina une autre fois pour que cette belle image de elle reste craver dans se mémoire à tout jamais et ne jamais oublier cette beautée. Cette étoile était venu de la mer et il voulait qu’elle reste sur terre pour pouvoir l’amirer jour et nuit. Mais surtout le regard, ce qu’il avait fait faire le coup de foudre à l’adolessant. Il s’avait perdu dans ce regard comme quand on se perd en regardant à horizon un sombre et chaleureux soleil couchant sur la mer calme. Il ne pouvait décrire en un seul mots cette merveilleuse image qui voyait dans sa tête. Il s’était perdu dans les yeux de cette fille pour toujours, ne pouvant et ne voulant plus en sortir. Ce portrait allait être le seul rêve qu’il verra à chaque fois qui s’endormira, un rêve fantastique.

lune

Mina cessa de se balancer et se perdit un instant dans ses propres songes. Qu'est-ce qui lui prenait, tout à coup? Elle parlait de son navire à un parfait inconnu, ce qu'elle n'aurait jamais fait auparavant. Elle n'était plus du tout méfiante, comme si elle avait toujours connu Loudrix depuis toujours. En fait, elle se sentait légère, très légère... c'était étrange. Elle sentait, savait qu'elle pouvait faire confiance à Loudrix. Mais c'était sûrement l'effet du soleil levant, particulièrement féérique en cette matinée fraîche. Elle chassa ces pensées et revint sur le quai :

-Oui, c'est là que j'habite... Je pourrais passer ma vie dessus si on me laissait faire! Mais il faut bien aller chercher de la nourriture de temps en temps, alors il faut accoster... Même là, je ne m'éloigne jamais vraiment... Mais toi aussi, tu peux voir le soleil se lever, non? Il ne se lève pas que sur l'eau... Tu as déjà navigué?

Décidément étrange. Comment se faisait-il qu'elle aie le rouge aux joues alors qu'il ne faisait même pas froid? Qu'est-ce qui lui prenait? Mais elle avait fini par comprendre que la nature ne suivait - ni ne permettait - pas toujours que les mêmes règles entrent en jeu... Elle tourna la tête vers Loudrix, comme pour se dire que la réponse à ses questions s'y trouvait peut-être...

Loudrix écoutait la mélodieuse voix de Mina qui l’interpelait. Son regard se porta sur la lueur brillant dans les yeux de la jeune fille interroger. Il fit un léger sourire en entendant la question qu’elle venait de poser. Il venait de remarquer qu’il n’avait jamais porter attention au lever du soleil puis qu’il vivait, dans sa jeunesse, dans la forêt. La lumière de cet artre ne se cachait pas derrière l’horison, mais bien derrière des feuillages ou des montagnes. La lumière passait à travers les branches et les feuilles un tapis d’ombre et de petites lumière sur le sol humide du matin.

Loudrix revenu à lui-même et continua à écouter les paroles de la ravissante demoiselle. En entendant le deuxième question, toujours ayant son sourire sur ses lèves, il balança la tête de haut en bas déliquatement. Il n’avait jamais quitter la terre sauf quand il va dans les airs sur le dos de Lyra. La terre est son élément et non l’eau contairement à Mina qu’elle vit sur l’eau. Il ne pourrait vivre sur la mer et océan comme elle, ça il le savait.

- Je ne peux pas voir le lever du soleil comme tu le vois. Moi, je vis sur la terre, dans les forêts et village, il ne secarche pas derrière un horison plat, mais derrière montagnes et paysage terreste. Contrairement à toi, qui habite sur l’eau et tu y passe ta vie, moi, je vit sur terre et je ne la quitte seulement à court terme. Pourrais-tu vivre sur la terre pour le reste de ta vie? Moi… dison que j’ésiterais à vivre pour le restant de mes jours sur un bateau…même si il est bien beau comme le tien.

**Je serais prêt à faire se grand saut sur la mer, peutêtre pour rester avec elle, mais serait-elle prete à faire ça pour moi?**

Mina écouta Loudrix avec une attention toute particulière. En même temps, elle avait un peu la tête ailleurs. Qu'est-ce que c'était que cet étrange chaleur qui semblait provenir de son interlocuteur? Elle songea à ce sentiment dont elle avait entendu parler par ses compagnons. "Amour". Un concept qui lui était étranger sous toutes ses formes. Était-ce là la réponse qu'elle cherchait?

Lorsqu'elle l'entendit dire qu'il aurait du mal à vivre sur un bateau, elle hésita. Il lui semblait que de toute sa vie elle n'avait jamais ressenti de tel bohneur qu'assise sur un quai mouillé à écouter Loudrix lui parler. Elle voulait que cet instant dure toujours, bien qu'elle sache que c'était impossible. En était-elle pour autant prête à abandonner la mer? *Oui*, songea-t-elle sans réfléchir. Elle se secoua. Vraiment? C'était.. étrange. Mais elle savait que c'était vrai. Dur, oui, mais possible. Sans doute garderait-elle une certaine langueur, mais...

-Eh bien... Je pense que oui. J'aurais du mal, c'est sûr, et je n'oublierais jamais vraiment ce qu'est la mer, mais... J'y arriverais.

Il faudrait qu'il y aie une bonne raison, bien sûr. Mais peut-être l'avait-elle déjà trouvée. Et puis, elle avait bien vécu sur terre, avant.

-Que veux-tu dire par quitter la terre à court terme? Tu voyages beaucoup? ajouta-t-elle, curieuse.

Loudrix fut tout réchauffé en entendant les parole de Mina. Sa voix était si douce et mélodieuse à ses oreilles. Et ses yeux à cette fille était comme deux pierres prescieuses qui l’écoutait avec un attention chaleureuse. Le jeune homme fit un léger sourire en attendant la réponde de cette demoiselle. Ses yeux brillait de bonheur en ayant l’espoir que Mina avait peut-être le même sentiment pour lui que lui à pour elle. Ça le rendait plus confient en lui et plus en plus dans un merveilleur bonheur.

Quand Mina embarqua dans le sujet qu’il avait voyager, il compris qu’il pouvait tout dire sur lui. Il confiance énorme était en lui pour cette fille qui lui réchauffait le cœur. Il avait aussi l’impression qu’il pourrait écouter parler à l’éternité. Cette voix avait un son de tendresse et de curieusité.

Loudrix revent à lui. Il avait beaucoup voyager mais quand il était jeune, même surtout avant de rencontrer Lyra sa montule, sa grande sœur en quelque sorte. Il était si jeune qu’il s’ensuivien presque pas. Il avait pris la mer si peu de fois. Ce lieu était plus inconnu qua connu pour lui. Il avait et quittait la terre souvent, mais pas sur l’eau, dans les air. Il pouvait voyager avec Lyra dans le ciel et ça depuis qu’il a au une bonne grandeur our et les musque pour se tenir su le dos de cette dragonne.

-Non, je ne voyage pas beaucoup. C’est dans les air que je quitte la terre et non sur l’eau. Je suis allé rarement sur la mer. Peut-être quand j’était petit, mais je ne me souvien pas assez. C’est loin dans ma mémoire.

Loudrix se pencha la tête vers le bas. Son visage pris un êre plus sérieux. Il regardait l’eau qui bougeait délicatement à cause du vent comme ses cheveux de balançait vers la plage et ceux de la jeune demoiselle à ses côtés. Le vent venait du Sud, de la mer. Un vent frait et doux. Les rayon du soleil qui étaient de plus en plus nombreux réchaufait un peu l’air, mais la température restait quant même fraîche.

Loudrix réfléchissait à son enfance. Il se souvenant de peu et sa le frustrait un peu de n’avoir personne qu’il sache des souvenirs de lui jeune. Qui pourrait l’aider à comprendre certaines choses sur lui. Le seul être qui était là peutêtre c’est Cryby, sa corneille quand il était petit. Son animal de compagnie qui était surment mort aujourd’hui et que même si il était vivant et qui serait devant lui…Elle ne souviendrait pas de détaille présie et elle ne parlerais pas.

Soudant un coup de vent froit du Nord vien, qui fit de tourbillion dans l’eau quasi calme. Les cheveux changea un moment de côté pour faire revenir Loudrix dans la réalité. Il tourna la tête vers Mina. Ses cheveux était comme de la soi dans le vent. Une magnifique image, un merveilleux moment pour Loudrix. Puis il eu un autre coups de vent froid de la même direction. Loudrix vit Mina trambler un peu.

**Est-ce moi ou elle a froid? J’ai peut-être alusiner.**

-Ehmm… Mina? ... Est-ce que tu as froid? C’Est que je pourrait te préter mon manteau si tu veux, je n’ai pas froid, moi.

Loudrix parlait vite, comme si il était gêner ou bien timide de lui parler. Il ressantait des papillons dans son ventre. Il fit un léger sourire simpatique en entendant la répond que Mina allait peut-être donner.

Mina fut interloquée d'aprendre que Loudrix voyageait dans les airs. Comment cela se faisait-il? Avec d'autres, elle aurait sans doute gardé sa question pour elle, mais elle était si bien, si... légère, là sur le quai, qu'elle demanda :

-Dans les airs? Tu veux dire que tu voles?

Puis, il évoqua son enfance oubliée. Elle songea à la sienne, perdue sans qu'elle oublie qu'elle ne la reverrait plus. En un sens, elle enviait un peu Loudrix. Elle aurait tout donné pour oublier le château au murs froids, la grande table du souper des invités, et surtout, ces longs instants dans le placard à balais qui lui servait de chambre. C'était sans doute ce qui lui avait tant fait aimer la liberté quand elle y avait goûté... Mais finalement, peut-être pas tout donné : ce moment à côté de Loudrix, sur un quai calme et paisible, était très précieux. Pas question donc de se rembrunir à cause du passé. Elle se secoua et posa encore une question :

-Tu dois bien te souvenir de quelque chose, non? On ne peut pas... tout oublier, comme ça, non? Ça ne disparaît pas si facilement...

L'air salin, jusqu'alors doux et chaud comme le voulait cette saison estivale, vira d'un coup pour devenir glacial. C'était si soudain, étrange, qu'elle en frissonna de surprise alors que les nuages grondaient au loin, tels un mauvais présage. Elle n'aimait pas beaucoup ce genre de caprices de la température. Elle se tourna vers Loudrix lorsque celui-ci proposa de lui passer son manteau, le rouge aux joues. Il commençait à faire très froid, alors elle dit, elle aussi plutôt gênée :

-Eum... D'accord, si tu dis que n'as pas froid...

Loudrix commença à déboutonner son manteau de cuivre brun beige.

-Je ne me souvien pas de mon enfance, mais rien. Sauf un oiseau qui me tenait compagnie quand j’était tout petit. Le problème est que sa terminer mal. Je l’ai vu mourir devant mes yeux par un bête noir… un ours ou un autre animal… je me souvien plus c’est flu dans ma tête.

Loudrix enlevit son manteau et se tassa légèrement vers Mina pour lui placer déliquatement sur ses épaules. Elle avait l’air si fragile toute en étant forte de l’âme et du caractaire. C’était un fille bien mystèrieuse en pour le jeune homme, mais il aimait bien ce petit côté d’elle. Pendant le bref moment que les mains de Loudrix était au dessu des épaules de la demoiselle, les cheveux de celle-ci caressa la peau du garçon. Une sensation si douce et réchauffante se fit sentir en lui. Il déposa le manteau tranquillement et lessa ses mains sur les épaules et lui demanda :

-c’est bon comme ça?
D’une voix si sympatique à amical ou un peu plus que amical probablement. Il avait l’air de vouloir changer de conversation.

Mina laissa échapper un « Oh… » à la fois navré et un peu coupable. Évidemment. Il avait fallu que sa curiosité vienne encore tout gâcher. Pourquoi, mais pourquoi n’arrivait-elle jamais à la faire taire ?

Pourtant, cela n’avait pas l’air de trop blesser le jeune homme. Il semblait un peu triste en se rappelant ce souvenir, mais en même temps… Elle ne savait pas trop… Résigné ? Amer ? C’était dur de savoir. Peut-être un peu des deux. Et pourtant, il semblait si solide, inébranlable dans sa fierté, envers et contre tous, même sans qu’il se rappelle son enfance. Elle sentit une bouffée de rouge lui monter aux joues, mais elle la retint aussitôt.

Elle se tourna vers Loudrix quand celui-ci posa son manteau sur ses épaules. Mais il semblait seulement faire cela comme un ami à son amie, pas autre chose. Elle tenta de retenir cette sensation qui lui cognait dans la poitrine. Elle sentait que dans ce monde, il n’y aurait que pour lui que ses yeux pourraient un jour s’adoucir. Mais s’il n’y avait rien pour lui… Mieux valait qu’elle n’insiste pas. Cela la fendrait en deux, mais il y avait longtemps qu’elle avait oublié comment vraiment s’attacher à quelqu’un.

-Oui… C’est parfait comme ça, merci !

Elle lui sourit, puis reporta son regard vers l’horizon.

Loudrix lessa ses yeux fixer sur Mina. Son cœur résonnait dans sa poitrine. Il ne savais pas quoi penser, il avais l’impression de regarder celle-ci si loin, car il n’arrivait pas à savoir son sentiment. Il se sentait comme entrain de regarder l’orizon et ne de pas pouvoir y toucher, comme si cette ligne d’infinie était fragile et qu’il ne pouvait l'éfleurer sans la brusquer. Il voulais dire à cette merveilleuse étoile, qu’il la voyait comme plus qu’une amie et lui dire le sentiment qu’il ressantait, mais la peur que ce sentiment ne soit pas réciproque l’empèchait d’ouvre la bouche et de dire une phrase complète.

Loudrix tourna la tête et la bessa pour que son regard soit vers ses genous. Il était insécure ne savant pas par où commencer, ce qu’il ne se dit pas, ou doit être dit. Il n’avait jamais parler de ça avec Lyra. Elle était pas sa mère et encore moins son père. Loudrix se retrouvait en chute dans le libre et seule le réponse de Mina déterminait si il s’écrasait ou était ratrapper. Loudrix se lensa :

-hum…Mina. Est-ce que… c’est que… et bien je…

Dans mouvement de gène, Loudrix mis chaqu’une de ses mains à côté de lui pour s’accoter dessu, mais elle du côté de la demoiselle toucha la jupe de celle-ci et fit une légère pression sur le côté de la cuisse de Mina. Loudrix en voyant la réaction de Mina et l’éfleurement de la cuisse de la jeune fille à ses doigts, il rougissa légèrement et le rythme de son cœur accéléra.

**Je ne viens pas de faire ça! Je suis vraiment stupide. Je vien de me condaner à mort**
Pensa Loudrix.

-hum, pardon désoler, je…

Loudrix croisa les regard de Mina. Les yeux de celle-ci était comme des émants pour ses yeux. Un regard merveilleux remplie d’empathie. Loudrix croyait rêver. Il était perdu dans ce regard pour une deuxième fois, mais cette fois il ressentait les vagues du courant de la mer l’attirer vers Mina. Il sentait le vent le pousser dans le dos pour le forcé de se raprocher. Il s’entait le feu de son cœur qui brulle la poitrine. Puis le sol ne plus être sous lui, comme si il était rendu sur un nuage doux comme les délicat cheveux qui avait toucher ses mains quand il avait déposer le manteau sur les époles de Mina.

Il n’entendait que le son du batement de son cœur qui prenait un rythme de plus en plus lent, mais plus en plus fort. La seule chose que voyait Loudrix était le profond et mystérieux regard de l’étoile assise à ses côtés. Il ne pouvait comprendre se qu’il se passait quand ses yeux se ferme et qu’il ressantie la plus belle et douce chaleur ce posé sur ses lèvres. Le son de son cœur était plus là, mais un silence si déliqua pour les oreilles que tu ne le remarque pas. Le temps était arrêter seulement la sensation des cheveux de Mina ce fesait sentir sur sa joue et les délicates et légèretes mains de cette jeune femme en contacte avec les siennes.

Après ce bref moment de paix, de douceur et d'amour qui lui avait parru à l’infinie, Loudrix s’éloigna tranquillement en ouvrant les yeux. Elle était bien là. Elle était belle est bien réelle. Il ne rêvait pas, cette ange sans aile n’avait pas besoin d’aile pour amener Loudrix au paradie mais que de l’amour pour lui. Loudrix garda son regard dans le regard de le Mina. Il était en amour pour elle, il le savait maintenant que s’était de l’amour. Il l’aimait de tout son corp et son âme. Ce baiser voulais tout dire pour lui, elle l'aimait et lui aussi.

-Mina, je t’aime.

Mina observait fixement les vagues qui s'échouaient doucement sur le bord du quai. Le vent sifflait alentour, ça n'avait pas d'importance. Il faisait nuit, ça n'avait pas d'importance non plus. Il lui semblait qu'elle se remplissait de vide. Elle l'aimait, oui, elle l'aimait. Mais elle ne supportait pas de pas savoir ce que lui pensait... Elle ne supportait pas cette indécision, mais s'il aurait fallu que de nouveau elle se retrouve seule, elle ne le supporterait plus. Plus jamais. Il fallait, il fallait qu'elle aussi compte à ses yeux. Juste un peu.

Quand Loudrix recommença à parler, elle tourna les yeux vers lui pour écouter sa voix effleurer ses oreilles. Elle était heureuse de le voir s'emmêler dans ses mots, de le voir se balancer au bord du quai, simplement d'être là. Elle devait avoir les yeux plus lumineux. Elle fixait les yeux de Loudrix comme s'il avait pu s'agir de miroirs qui le lui confirmerait, deux miroirs si bleus et si beaux. Mais quand il s'appuya accidentellement sur sa jambe, elle sursauta, surprise. Il semblait croire que c'était désastreux, mais elle... Ça ne la dérangeait pas, au contraire... Elle trouvait ça... drôle??

Oui, elle riait! Pour la première fois depuis si longtemps, elle riait! Elle ne savait pas pourquoi, la situation aurait dû êtreplus gênante qu'autre chose, mais elle ne pouvait s'en empêcher. Puis rapidement elle se reprit et toussotta pour se reprendre, elle l'avait peut-être vexé? C'était maintenant son tour de trouver qu'elle avait une attitude désastreuse. Surtout ne pas le laisser paraître, surtout pas...

Avant de croiser son regard. Il n'avait jamais été sur l'eau, mais il lui semblait que la mer et sa beauté toute entière s'y retrouvaient d'un coup. Elle se sentait inexplicablement et irrémédiablement absorbée par ce regard, ces yeux qu'elle voulait tellement sentir dans les siens, pour que l'espace d'un instant tout le reste n'importe plus. Elle aurait tout donné pour pouvoir s'y perdre à jamais.

Il lui semblait tout à coup être un aimant dont Loudrix était l'autre moitié. Deux aimants qui n'avaient cessé de se chercher depuis longtemps, et qui étaient à nouveau réunis. Elle sut alors qu'il avait les mêmes sentiments qu'elle, cette sensation que son coeur allait sortir de sa poitrine pour qu'elle puisse lui donner en cadeau. Et qu'à travers ce baiser il allait le recevoir.

Elle aprécia chaque seconde afin de garder chacune d'elles en mémoire. Chacune d'elles pour une éternité. Puis, Loudrix lui dit ces quatre petits mots. Des mots insignifiants s'ils étaient séparés, mais qu'elle n'avait jamais entendus l'un à la suite de l'autre et qu'elle n'aurait voulu entendre de personne d'autre. Son visage devait être en train d'irradier, le contraire était simplement innimaginable, elle devait être en train d'exploser. Ce qu'elle fit dans ce sourire qui répondit :

-Moi aussi...

Loudrix ne bougeait plus. Il venait d’entendre les seuls mots qu’il voulait. C’es mots résonnait dans sa tête comme de jolie mélodie. Il ne savait plus quoi dire ni quoi faire. La seule chose qui comptait était que Mina soit à côté se lui.

Le soleil continuait de se lever de plus en plus. Le paysage prenait de plus en plus de couleur vive. Un autre monde que Loudrix connaissait se réveillait, mais peutêtre que Mina ne connaissait pas se monde. Le monde de la terre en plein jour. La forêt avec le soleil qui ne lesse que passer de légé rayon du soleil qui éclaire le chemin comme des millier de petite bougie passé juste pour toi. Les montagne d’où tu peux voir la vie d’en haut et voir le chemin que tu as parcouru et que tu va parcourir. Les champs avec leur fleur à perte de vue pour t’offrir un lieu ou marqué ton passage en formant ton propre chemin parmis le lac de couleur vive. Ce monde, Loudrix voulais l’offrir à Mina mais ne pouvant le soulever il ne pouvait que lui présenter.

-Mina, je voudrait d’offrir le monde de couleur. Si tu me permets, je vais être ton guide dans se mystèrieux monde de paysage terrestre. Suis-moi, je t’en pris. Ce jour qui vient de se réveiller sera pour toi. Voudrais-tu pour un jour quitter ta mer et me suivre sur la mienne?

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